Djokovic révèle son plan fou : il jouera jusqu’en 2027 pour un 25ᵉ Grand Chelem !

Une longévité exceptionnelle défiant Father Time

À 38 ans, Novak Djokovic continue d’inscrire son nom dans l’histoire du tennis mondial. Selon les révélations de Mark Knowles, ancien n°1 mondial en double et coach occasionnel, le Serbe n’a aucune intention de raccrocher sa raquette à court terme. Knowles affirme que Djokovic prévoit de poursuivre sa carrière jusqu’en 2027, avec pour objectif majeur d’égaler puis de dépasser le record de 24 titres du Grand Chelem.

Cette volonté de prolonger l’aventure au plus haut niveau témoigne de la capacité du Serbe à repousser les limites physiques et mentales. En utilisant l’expression « tester Father Time », Knowles souligne l’exploit consistant à maintenir une telle régularité malgré l’usure liée à l’âge. Pour un joueur professionnel, rester compétitif après la trentaine impose une hygiène de vie irréprochable, une planification de l’entraînement minutieuse et une connaissance pointue de son corps.

Une stratégie de calendrier axée sur les Grands Chelems

Le plan de bataille de Djokovic pour 2026 et 2027 repose principalement sur les tournois du Grand Chelem. D’après Knowles, le Serbe participera essentiellement aux quatre levées majeures et limitera sa présence sur le circuit ATP à quelques rendez-vous clés. Cette approche « champion uniquement » permet :

• Une récupération optimale entre chaque tournoi majeur : en espaçant les compétitions, Djokovic peut soigner les petites gênes et éviter le surmenage.
• Une préparation spécifique adaptée à chaque surface : consacrer plusieurs semaines de préparation physique et technique avant Melbourne, Paris, Londres ou New York.
• Une focalisation mentale accrue sur la quête du 25ᵉ titre : en réduisant les distractions, le champion concentre son énergie sur l’objectif ultime.

À titre d’exemple, sur la période 2025, Djokovic a soigneusement calibré sa participation pour arriver frais en Australie, à Roland-Garros, à Wimbledon et à Flushing Meadows. Pour les joueurs amateurs, retenir cet enseignement consiste à choisir des compétitions en fonction de ses priorités et à planifier des phases de repos stratégiques.

Le défi physique face à la nouvelle génération

Les performances de Carlos Alcaraz et Jannik Sinner illustrent la difficulté de tenir le rythme sur cinq manches. Djokovic lui-même a admis après l’US Open 2025 que les matchs en cinq sets devenaient un obstacle contre ces adversaires plus jeunes et explosifs. Cependant, son palmarès prouve qu’il sait encore puiser dans ses réserves :

• Qualité de déplacement exceptionnelle, même après trois heures de jeu.
• Anticipation hors pair sur balle rapide ou amortie.
• Capacité à élever le niveau dans les moments cruciaux et à gérer le stress.

Si la longévité dépend en partie de la technique, elle repose surtout sur une préparation physique intelligente, incluant des cycles de musculation, de pliométrie et de travail de mobilité articulaire. Chaque joueur, quel que soit son niveau, gagnera à diversifier ses sessions afin de prévenir les blessures et de conserver un haut degré d’intensité.

Quels enseignements pour les joueurs amateurs ?

La démarche de Djokovic offre plusieurs pistes pour structurer sa propre progression :

• Définir des objectifs clairs : cibler un tournoi ou un niveau de performance réaliste pour garder la motivation.
• Planifier son calendrier : alterner compétitions, entraînements intensifs et phases de récupération active (natation, vélo, yoga).
• Soigner l’aspect mental : travailler la visualisation, la respiration et la concentration pour rester lucide en fin de match.
• Optimiser la technique : prendre le temps de peaufiner un coup fort (coups droits, revers ou service) pour gagner en confiance.

Au-delà de l’inspiration que représente Djokovic, chaque joueur peut s’appuyer sur son ressenti corporel pour ajuster charge d’entraînement et phases de repos. La clé réside dans l’équilibre entre l’ambition et le respect de son corps.

L’impact des partenariats et des sponsors

D’après Knowles, un autre levier dans la décision de Djokovic est lié aux contrats de sponsoring. Conserver une visibilité élevée sur le circuit, notamment lors des Grands Chelems, permet de satisfaire les marques et de sécuriser les revenus. Pour un professionnel, cet équilibre entre performances sportives et obligations extérieures fait partie intégrante du métier.

En conclusion (sans conclusion formelle), l’exemple de Novak Djokovic illustre parfaitement comment la passion, la discipline et une planification millimétrée peuvent prolonger une carrière au sommet. Les enseignements de sa préparation restent applicables à tous les passionnés désireux d’élever leur jeu tout en préservant leur intégrité physique.